Exploitons le deferred lighting
Un grand classique, quand on fait du deferred lighting, c'est de montrer que son modèle d'éclairage est 100% dynamique. On attache donc une source lumineuse aux particules d'un système de particules et le tour est joué. C'est donc ce que j'ai rapidement fait avec mon nouveau module de détection de collisions.
Dans cet exemple, on peut remarquer que le système de collision est montré dans un niveau à géométrie arbitraire, histoire de se convaincre que cela n'est pas limité à une petite pièce rectangulaire!
>>> fichier xvid <<<